Titre : | EGAlim : un décret précipité et irréaliste pour la restauration collective (2019) |
Auteurs : | Chloé GWINNER |
Type de document : | Article |
Dans : | Filières avicoles (831, 06/2019) |
Article en page(s) : | pp. 12-15 |
Langues: | Français |
Concepts : |
RESTAURATION COLLECTIVE
ALIMENTATION BIOLOGIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE |
Résumé : | Les restaurants des collectivités devront s'approvisionner avec 50 % de produits sous signe de qualité, dont 20 % en bio avant 2022. C'est en tout cas ce que prévoit le dernier projet de décret en date, relatif à la mise en œuvre de la loi EGAlim, et qui déjà fait grincer des dents. Plusieurs acteurs (la FNSEA, JA, Coop de France, l'APCA, Geco Food Service, Restau'co, CGI et le SNRC) alertent les pouvoirs publics sur un risque de déstabilisation des filières et regrettent que le texte n'englobe pas l'ensemble des démarches de qualité (telles Bleu Blanc Cœur, Charte bonnes pratiques d'élevage, Global Gap, Collectif de la 3ème voie). Le projet de décret limite effectivement l'éligibilité aux produits sous signe label rouge, appellation d'origine (AOP), indication géographique (IGP), spécialité traditionnelle (STG) et haute valeur environnementale (HVE). Marie-Cecile Rollin est directrice de Restau'Co, un réseau interprofessionnel de la restauration collective. Elle revient sur ce projet de décret et sur les enjeux de la restauration collective pour l'agriculture française. |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Section | Disponibilité |
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PER00000041-831-1 | Revue | Réserve | Disponible |